À propos de la Fondation

Historique

1944

  • Le docteur T.A. Pincock, directeur des programmes de santé mentale de la Province du Manitoba, joue un rôle central dans la mise sur pied de l’organisme Alcooliques anonymes au Manitoba.
  • La Commission Bracken examine la Loi sur la réglementation des alcools de 1928, qui donne lieu à la rédaction de la Loi sur la Fondation manitobaine de lutte contre l’alcoolisme.

1951

  • Madame Marty Mann, directrice exécutive du Comité national sur l’alcoolisme, rencontre des Winnipegois intéressés qui souhaitent faire front commun contre l’alcoolisme.

1952

  • Le Comité manitobain de lutte contre l’alcoolisme est constitué en société.

1956

  • On adopte la Loi sur la Fondation manitobaine de lutte contre l’alcoolisme, autorisant ainsi la mise en place d’établissements et de services de traitement de l’alcoolisme au moyen de counseling, d’éducation, de prévention et de recherches.
  • La Fondation manitobaine de lutte contre l’alcoolisme (FMLA) fait l’acquisition de locaux à bureaux et d’un centre d’information situés au 124, rue Nassau. Par ailleurs, la Fondation met sur pied la Maison Nassau au 100, rue Nassau. Il s’agit d’un établissement de traitement en résidence pour hommes qui compte 15 lits.

1966

  • La Fondation inaugure le tout premier établissement de traitement résidentiel des dépendances pour les femmes au Canada. Il s’agit d’un centre de traitement en résidence conçu pour accueillir jusqu’à 15 femmes.

1969

  • Des services de lutte contre l’usage abusif d’alcool et de drogues voient le jour à Brandon, où Norm Matheson a fait don de la Maison Matheson et de Sun Centre à la Fondation.

1970

  • On lance des services liés à la consommation d’alcool et de drogues à Thompson à partir de deux édifices, Cameron Lodge et Evergreen Place.

1971

  • On inaugure un nouvel espace communautaire qui porte le nom de Maison Christie, baptisé ainsi d’après Keith Christie, ancien directeur exécutif de la Fondation qui a joué un rôle central dans la création de la Maison River.

1974

  • Le Rapport Banmen est rendu public; on augmente les fonds accordés à la Fondation afin de continuer de s’attaquer aux problèmes liés à l’alcool et aux drogues dans une optique de santé publique.

1975

  • La Fondation étend ses services à différentes collectivités rurales à travers le Manitoba.

1980

  • La Fondation fait l’acquisition de l’édifice abritant l’INCA au 1031/1041, avenue Portage, à Winnipeg, ce qui vient permettre la consolidation de la plupart des services de traitement et d’éducation en matière de dépendances qui se trouvent en milieu urbain à Winnipeg.
  • On lance le Programme pour les conducteurs avec facultés affaiblies pour intervenir auprès des personnes accusées d’au moins deux infractions pour conduite avec facultés affaiblies.
  • On inaugure la bibliothèque de la Fondation que l’on baptise à la mémoire du révérend William Potoroka, directeur exécutif du Programme d’éducation sur l’alcool et les drogues, pour ses 22 ans de services dans le domaine de l’éducation et de la prévention en ce qui a trait à l’alcool et aux drogues.

1981

  • La Maison Willard-Monson ouvre ses portes à Sainte-Rose-du-Lac; il s’agit du quatrième établissement de traitement résidentiel et communautaire de la Fondation.
  • À Thompson, les programmes fournis jusqu’alors à partir de deux établissements sont réunis sous un même toit; il s’agit de Polaris Place, édifice offert en don à la Fondation par la société INCO.
  • On établit des partenariats avec l’établissement pénitentiaire de Stony Mountain afin de proposer des services de traitement à contrat aux détenus.
  • Le Programme de traitement pour les jeunes voit le jour. La Fondation devient ainsi l’un des premiers organismes au Canada à offrir des services de lutte contre les dépendances aux jeunes.

1989

  • La Fondation va de l’avant avec le volet scolaire de son programme, dans le cadre duquel un conseiller de jeunes est affecté à quatre écoles secondaires (trois à Winnipeg, une à Selkirk) pour conseiller et sensibiliser sur place les élèves, le personnel enseignant et les administrateurs.

1990

  • Le premier ministre Gary Filmon lance une « Campagne de lutte contre les drogues » qui prévoit une stratégie à quatre volets axée sur l’intensification des mesures pénales, l’éducation, la consultation communautaire et l’amélioration des traitements.
  • On annonce la stratégie intitulée « L’abus d’alcool et d’autres drogues au Manitoba : une stratégie pour les années 90 ». On invite les Manitobains à faire part de leurs opinions sur la prestation de programmes en matière de dépendances au Manitoba.
  • Une baisse des fonds accordés à la Fondation provoque un important remaniement de l’organisme.

1991

  • La Fondation met sur pied un Fonds d’éducation et de prévention liés aux dépendances chez les jeunes afin d’aider des organismes et des collectivités à élaborer et à offrir des projets d’éducation sur l’alcool et les drogues qui ciblent les jeunes.

1992

  • La Fondation vend la Maison Matheson et le Sun Centre à Brandon; elle procède par la suite à l’ouverture du Centre Parkwood à Brandon, nouvel établissement de traitement résidentiel composé de 15 lits.

1993

  • La Fondation étend le volet scolaire de son programme à 18 écoles supplémentaires situées en milieu rural et dans le nord.
  • Le gouvernement provincial annonce la mise sur pied d’une initiative de lutte contre la pratique excessive du jeu et en confie par la suite l’administration à la Fondation. Le programme propose une ligne d’aide accessible tous les jours 24 heures sur 24, de même que des programmes de traitement, de prévention, d’éducation et d’intervention.
  • Conformément à loi 44 qui est alors adoptée, la Fondation manitobaine de lutte contre l’alcoolisme change de nom pour devenir la Fondation manitobaine de lutte contre les dépendances, et ce afin de représenter plus fidèlement les services que propose la Fondation. Son mandat est ainsi élargi pour englober la pratique excessive du jeu et la consommation d’alcool et de drogues.
  • La Fondation sert davantage de collectivités en milieu rural au Manitoba.
  • La Fondation fait l’acquisition d’un édifice au 200, rue Osborne, afin de consolider ses Services aux jeunes, qui étaient jusqu’alors offerts à partir de ses locaux initiaux au 124/100, rue Nassau.

1994

  • On qualifie d’« initiative fer de lance au Canada » le Programme pour les conducteurs avec facultés affaiblies de la Fondation. Dans cette optique, le système manitobain est retenu par la Fondation de recherches sur les blessures de la route au Canada comme prototype de lutte contre la conduite avec facultés affaiblies à l’échelle du pays.

1995

  • La Fondation met au point et en œuvre un programme pilote de renouveau parental. En raison du succès du programme, Santé Canada accorde une subvention pour élaborer un Programme de renouveau parental à l’échelle nationale en collaboration avec le personnel de la Fondation et des représentants de partout dans le Canada.

1996

  • La Fondation s’associe à la Saskatchewan Alcohol and Drug Abuse Commission ainsi qu’à la Alberta Alcohol and Drug Abuse Commission (Commission sur l’abus d’alcool et de drogues de la Saskatchewan et de l’Alberta) afin de présenter le premier Congrès canadien sur le jeu pathologique.
  • La Fondation se voit confier la prestation de deux programmes qui étaient auparavant administrés dans le réseau hospitalier. Il s’agit du Programme de traitement pour les personnes atteintes de troubles concomitants et du Programme d’entretien à la méthadone.

1997

  • On loue la Fondation pour son engagement envers la qualité, sa quête continue d’amélioration et ses réalisations après avoir atteint le niveau Argent des Prix de qualité du Manitoba de 1997.

1999

  • La Fondation ouvre son premier établissement de traitement en résidence pour les jeunes (aujourd’hui appelé Programme Compass) à Southport, au Manitoba. Conçu pour accueillir jusqu’à 14 clients, cet établissement dispense des traitements en résidence aux jeunes âgés de 13 à 17 ans.

2002

  • La Fondation s’associe à l’Office régional de la santé de Winnipeg et à Santé Manitoba dans le cadre de l’Initiative sur les troubles concomitants (CODI). On a lancé cette initiative afin de réduire l’écart au niveau des services offerts aux clients qui sont aux prises avec des troubles concomitants de santé mentale et de toxicomanie.
  • Le Centre de renseignements sur le jeu responsable, le premier de son genre en Amérique du Nord, voit le jour dans le casino McPhillips Street Station, à Winnipeg.
  • La Fondation met sur pied un Programme de traitement résidentiel du jeu excessif à Brandon.

2004

  • La Fondation ferme une unité de soins primaires composée de 15 lits.

2005

  • Le Conseil canadien d’agrément des services de santé (CCASS) accrédite pour la première fois la Fondation dans les domaines de la toxicomanie et de la pratique du jeu.
  • La Fondation étend ses services fournis dans le cadre du programme de remplacement des opiacés à Brandon.
  • La Fondation met sur pied, en partenariat avec Justice Manitoba, le Tribunal de traitement de la toxicomanie de Winnipeg, un nouveau tribunal destiné aux délinquants toxicomanes non violents.

2006

  • La Fondation organise des célébrations un peu partout dans la province à l’occasion de son 50e anniversaire.
  • La Fondation met au point un programme de jour qui s’adresse particulièrement aux femmes. Il s’agit du programme intitulé Women Invested in Sobriety, Empowered in Recovery (WISER).

2007

  • La Fondation lance un programme de formation à l’intention de tous les employés qui œuvrent dans les points de vente au détail de produits de loterie au Manitoba. Ce programme a pour but de conscientiser les détaillants aux pratiques responsables de jeu et aux ressources axées sur les problèmes de jeu.

2008

  • La fonction de recherche de la Fondation passe aux mains de Santé et Vie saine Manitoba. Cela donne à la Fondation l’occasion de réorienter ses ressources vers les programmes de traitement et d’éducation du public.

2009

  • Le Centre Eaglewood, établissement de traitement en résidence nouvellement construit conçu pour accueillir 18 clients, remplace la Polaris Place à Thompson.

2010

  • Pour la première fois de l’histoire de la Fondation, on nomme une femme à la présidence du conseil d’administration.

2011

  • Pour la première fois de l’histoire de la Fondation, on nomme une femme au poste de chef de la direction.

2013

  • La Fondation met sur pied le Knowledge Exchange Centre (Centre d’échange du savoir) qui se veut un pivot central d’information sur les pratiques avant-gardistes fondées sur des données probantes en matière de programmes et de recherches liés au domaine du traitement des dépendances au Manitoba.
  • La Fondation se met à exploiter une ligne téléphonique provinciale d’information et de ressources sur les dépendances à l’intention des adultes.
  • La Fondation lance son premier Programme de gestion non médicale du sevrage à Thompson pour appuyer les personnes aux prises avec des problèmes de toxicomanie qui se préparent à intégrer un programme de traitement et de soutien pour les toxicomanes.

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